Chalet aux Îles-de-la-Madeleine: pas pire !

Dans ma série de billets sur notre voyage aux Îles-de-la-Madeleine avec nos deux très jeunes enfants, je profite de l’occasion pour vous glisser un mot sur les chalets que nous avons loués.

Nous avons loué un chalet de taille moyenne aux Chalets La Martinique. Leur site web est excessivement dépassé, et leurs moyens de communication le sont autant.

En effet, il faut réserver par téléphone, le dépôt est pris sur la carte de crédit, mais le reçu est envoyé par le poste traditionnelle… vous voyez le genre !

Par contre, le tenancier est très gentil: il vous envoie du même coup une superbe et très complète carte routière des Îles-de-la-Madeleine avec l’emplacement des chalets indiqués. Pratique quand on descend de l’avion à 23h, heure locale !

De plus, il y a une prise RJ45 réseau dans chaque chalet. Par chance, j’avais apporté mon Airport Express et j’ai le Wifi pour tous mes périphériques !

L’emplacement des chalets

Les chalets sont situés juste avant la plage La Martinique, à l’Étang-du-Nord. Il vente beaucoup, mais la vue est splendide. Vous adorerez être situés exactement au milieu des Îles. Ce genre de proximité est bien apprécié quand il faut retourner au chalet pour les enfants ou pour des couches…

L’état des chalets

Les chalets sont construits sur des fondations en béton. Ils sont chauffés (si besoin est !) et la construction semble plutôt récente. Le nôtre a un petit problème de sortie de hotte qui fait du bruit à cause du vent, mais je considère cela comme un problème très mineur.

Les draps sont récents et très propres. Lits confortables. Frigo très propre (j’oubliais de vous dire qu’il y a une kitchenette !). La salle de bain est récente et propre également.

Ce n’est pas « le gros luxe ». Mais c’est cent fois mieux qu’un motel à Old Orchard Beach ! (la comparaison est même boiteuse à faire, désolé…)

Mini-croisière aux Îles-de-la-Madeleine pour voir les falaises et les grottes

Cet après-midi lors de notre voyage aux Îles-de-la-Madeleine avec nos deux très jeunes enfants, nous avons fait une excursion en petit bateau pour aller voir les grottes à Fatima, c’était extra.

C’était une croisière à bord du Pluvier à l’Étang-du-Nord qui durait environ 2 heures. Il semble y avoir des départs aux 2 heures dans l’après-midi, et un départ au coucher du soleil…

Quand nous y sommes passés, les tarifs étaient de 40$ par adulte et 30$ par enfant. Ça en vaut amplement la peine. Je ne regrette pas un seul dollar !

Il faut vous présenter à son kiosque à la marina de l’Étang-du-Nord, juste à côté du Café de la Côte. Vous pouvez également leur téléphoner au 418-986-5681 ou 418-937-7656.

Le guide était très intéressant (bien que je pensais qu’il n’y avait pas grand chose à dire sur ces falaises !). Vous pourrez aussi prendre de magnifiques photos ! En voici d’ailleurs quelques unes…

Park & Fly: la 7e merveille du monde pour les voyageurs

Bon, mon voyage vers les Îles-de-la-Madeleine a bien commencé. Ma patronne m’a conseillé de me stationner au Park & Fly de l’Aéroport de Montréal YUL plutôt que dans le stationnement de l’aéroport directement (ce que j’aurais fait pour éviter le trouble).

J’ai donc pris exceptionnellement l’autoroute Côte de Liesse, sortie Cardinal près de l’aéroport. Et là, une gigantesque pancarte nous indique où est le Park & Fly Valet. J’ai pris Valet car je voulais m’éviter du trouble…

Je me stationne, mets mes bagages sur un charriot et entre payer à l’intérieur. Les tarifs sont très raisonnables: 99$ par semaine ou 19$ par jour (il me semble bien). En partant, on sait ce que ça nous coûte, on le voit sur le reçu (bien qu’on paie en quittant).

La dame nous informe de téléphoner au 1-866-992-2359 en sortant de l’avion pour qu’ils préparent notre voiture. Deux minutes plus tard, une navette est arrivée.

J’étais particulièrement dans le jus avec les deux bébés, les millions de valises et la chaleur intense. J’étais bien heureux de voir le chauffeur prendre charge de tous nos bagages… Hop, à l’aéroport !

Bon service, on voit que leur service est bien rodé !

Voyage aux Îles-de-la-Madeleine: introduction

J’aurais dû prendre davantage de vacances dans la dernière année. Mais bon, comme il n’est jamais trop tard pour bien faire, ma famille et moi-même partons ce weekend pour 9 jours aux Îles-de-la-Madeleine. J’ai hâte.

Je vais vous donner mes commentaires sur ce voyage avec un bébé de 2 mois et une tornade de 2 ans sur mon blogue. Vous saurez quoi faire et ne pas faire si vous y allez, vous aussi, avec de jeunes enfants. Si vous voulez voir tous les billets reliés au voyage aux Îles-de-la-Madeleine avec deux jeunes enfants, cliquez ici.

Nous avons dû réserver un an d’avance: j’utilisais mes points Aéroplan pour réserver et le nombre de billets est plutôt limité.
Conseil d’ami: les billets d’avion sont plutôt chers pour y aller, mais ça prend autant de points Aéroplan que si vous alliez à Toronto.

L’hébergement aussi est pas évident, surtout si vous y allez comme moi en très haute saison. Oui, le concours de châteaux de sable semble assez populaire. Nous logeons aux Chalets La Martinique. Je vous en donnerai mes commentaires plus tard… disons que je suis un peu « princesse » là-dessus…

Nous avons loué un SUV avec deux bancs de bébé à Leblanc, location d’auto. Nous avons eu un bon prix pour les sièges pour enfants, je vous le recommande (à date).

MISE-À-JOUR: Quand nous sommes arrivés à 23h, crevés, à l’aéroport, nous étions les seuls à louer une voiture. Ils nous attendaient de bonne humeur, et avaient déjà installé les sièges pour bébés dans l’auto à notre place ! Ils nous ont également donné un coup de main pour les bagages, et on refusé le pourboire.

Recherches terminées, le décompte est commencé !

Pour lire les autres billets reliés au voyage aux Îles-de-la-Madeleine avec deux jeunes enfantscliquez ici.

Pourquoi vous ne voulez pas de piscine creusée

J’ai acheté une maison avec une piscine creusée en automne 2011.

À prime abord, on se dit qu’on va sûrement apprécier pendant les grosses chaleurs estivales. On se remémore nos été d’enfance passés dans la piscine avec les voisins. On se dit qu’on va avoir du fun, et que nos enfants aussi auront du fun.

Mais voilà. L’automne rime avec « les feuilles tombent des arbres » et « elles se ramassent dans le fond de la piscine ». En réalisant celà, j’ai étendu une toile sur la piscine pour réduire le nombre de feuilles à ramasser.

Le printemps venu: surprise. On dirait que les feuilles se sont multipliées au fond de la piscine. Il me semble pourtant avoir réagi rapidement !

Ramassage de feuilles dans le fond. Ramassage. Ramassage. Des jours et des jours durant. Puis, il faut partir la piscine (merci à papa !).

Mais là, oups, le robot-aspirateur n’arrive pas à fonctionner plus de quelques minutes. Vérifications un peu partout pour comprendre le problème. Nombreuses visites au magasin de piscine pour changer des pièces, faire inspecter le robot, la pompe…

Au diable ! Faites venir le service à domicile: je suis en train de perdre la belle transparence de mon eau ! « C’est 90$ de l’appel, plus 75$ l’heure monsieur vous savez…. » Peu importe, mes nerfs sont à vif !!!

Le pire, c’est quand on vous apprend que puisque votre piscine est creusée, vous allez devoir creuser à la main un beau petit trou assez large pour qu’un homme puisse se rendre sous l’écumoire, donc pelleter jusqu’à sous le trottoir de béton. Le gros fun noière, quoi !

Et puis quand c’est pas ça, c’est une cocotte qui est prise dans le robot-aspirateur et qui nous fait perdre des heures.

Mais le comble, c’est quand tout le monde te fait sentir abominable parce que tu n’as pas encore, fin juin, de clôture hyper dispendieuse et ultra laide empêchant tous tes enfants de mourir noyés instantanément dans ta piscine. Un monstre quoi !

Grrrrrrrr !

Google Apps for Business: les emails que mes utilisateurs envoient tombent toujours dans le SPAM

Non, ça n’est pas arrivé à mes comptes Google Apps car je connais déjà très bien la technique. Mais bon, je pensais vous en faire part !

Connaissez-vous les SPF records ?
Quand un serveur de mail reçoit un email à délivrer à un de ses utilisateurs, le filtre de Spam essaie de savoir si c’est un email légitime ou pas.

Parmi toutes les vérifications effectuées, il y en a une de base: le serveur tente de savoir si le serveur utilisé pour l’envoi du courriel a bel et bien le droit d’envoyer un courriel de ce domaine.

Exemple: Vous envoyez un courriel de la part de jean@monentreprise.com à nimportequi@gmail.com
Le serveur Gmail va tenter de savoir si le serveur SMTP de monentreprise.com a bel et bien la permission d’envoyer des emails au nom de monentreprise.com

Comment ? De plusieurs façons.

D’abord, si le serveur a un Reverse DNS, ça va aider.
Ensuite, si le serveur est le même que le A Record dans les DNS, ça va aider.
Même chose pour les serveur emails qui ont un MX Record.

Mais si votre entreprise utilise Google Apps for Business, vous devez l’indiquer autrement: par le biais de SPF Record.

Comment enregistrer un SPF Record ?

Allez dans votre panneau de gestion DNS si vous en avez un, ou sinon éditez le fichier de configuration de votre zone DNS.
Ajoutez deux entrées de type TXT.
Domaine pour les deux: @

Valeur:

et

Valeur:

Voici ce que chaque truc signifie:
a: le serveur qui a le A Record @ principal sera autorisé
mx: le serveur autorisé à recevoir des emails sera autorisé à en envoyer
ip4: vous pouvez répéter cette instruction en listant les IP des machines qui enverront des messages
include: inclure une autre liste d’SPF Record externe (google dans ce cas)
~all: d’autres serveurs non-listés pourraient éventuellement en envoyer, mais tout de même whitelister ceux nommés

Voilà !

SMTP: delivery temporarily suspended: host mx.videotron.ca[24.201.245.37] refused to talk to me: 452 try later

Ultra geek et technique:

La situation

Vous êtes administrateur d’un serveur de mail (SMTP) et vous réalisez que les courriels envoyés à des adresses @videotron.ca ne se rendent plus à destination.

Vous regardez les logs d’erreurs de votre serveur sendmail et vous obtenez un message du genre:

delivery temporarily suspended: host mx.videotron.ca[24.201.245.37] refused to talk to me: 452 try later

Le remède

Il faut téléphoner à Vidéotron au numéro suivant: 514-281-8498

Ils vont remettre à zéro manuellement votre cote dans leur filtre de spam.

Comment générer une clé SSH sous MacOSX

Bon, pour la prospérité, je vais expliquer comment générer une clé privée/publique SSH en français. Il y a beaucoup de tutoriels en anglais comme ce tutoriel.

D’abord, ouvrez le terminal et tapez:

et ensuite entrer à deux reprises un mot de passe pour encrypter la clé.

La clé publique/privée sera alors stockée dans

Pour communiquer à autrui votre clé, vous pouvez taper

Et elle sera stockée dans votre clipboard ! Plus qu’à faire CMD + V.

3 méthodes de contribution politiques: je suis le seul qui n’a pas compris ?

Tout le monde en politique cherche à se donner une image plus blanche que blanc.

Au moindre pseudo-scandal, on parle de « contributions politiques » ou de « financement sectoriel » et on en fait un débat. Est-ce normal qu’un individu donne 3000$ à un parti politique, est-ce normal ceci, cela, etc…

Tant bien qu’un jour, on (le gouvernement) a décidé d’interdire formellement les contributions politiques provenant d’entreprises. On se disait alors que si seulement les personnes pouvaient donner à un parti politique, elles le feraient sans avoir d’intérêts mercantiles !

Mais voilà, on a découvert que des individus avaient également des intérêts (surprenant ?). On s’est dit qu’on limiterait les dommages, l’utilisation de prêtes-noms, d’enveloppes d’argent, et tout cela; si on limitait à 1000$ par personne.

Première méthode

Une entreprise avait des intérêts et voulait remercier le gouvernement d’une manière ou d’une autre. Elle versait disons 20 000 $ à la caisse d’un parti politique sous forme de chèque. C’était légal.

Si l’entreprise décrochait des contrats, on pouvait faire 1 + 1 = 2 car on pouvait facilement retracer la contribution, et ainsi faire le lien entre les contrats.

Méthode pré-2010

(selon moi, bien sûr)

Supposons un individu avec des intérêts qui voulait donner 20 000 $ à la caisse d’un parti X. Comme il ne pouvait donner que 3000$, il devait trouver 6 prêtes-noms (autre que lui) pour donner au parti. L’individu prête-nom #1 donnait 3000$, le #2 2000$, le #3 3000$ et ainsi de suite.
Vous me suivez ?

Et si cette personne était un peu paresseuse, elle pouvait plutôt ne donner que 3000 $ par chèque au parti, et payer des trucs à gauche à droite en cash pour le parti ou pour des candidats (pour avoir vécu moi-même des transferts d’enveloppes d’argent cash).

Dans ces deux cas, si la compagnie du « donateur principal » avait des contrats, tout ce qu’on arrivait à faire comme parallèle, c’est qu’il n’avait donné que 3000 $. Rien d’exagéré et tout semblait normal.

Méthode post-2010

Ce même propriétaire ou dirigeant d’entreprise veut aider un parti et a 20 000 $ à donner. Cette fois, il ne peut légalement donner que 1000$. Il doit donc trouver 19 autres prêtes-noms ou bien donner 19 000 $ en dessous de la table.
Alors quand on essaie de faire des parallèles entre les contrats obtenus et les dons versés, on ne trouve que 1000$.

Avouez tout de même que c’est une bonne méthode pour ne pas laisser rien paraître !

 

Selon moi, ne pas permettre aux entreprises de donner, et baisser le plafond des contributions politiques contribue plutôt à cacher les dons, cacher les pistes…

Et vous ?

Pourquoi j’utilise Git comme logiciel de gestion de versions

GitHubD’abord, je dois dire que cet article est plutôt technique et est destiné à des développeurs, des designers, des gestionnaires de projet ou bien des dirigeants en technologies :-).

Si vous êtes pressés et ne voulez pas lire mon blabla, allez à la fin voir mon résumé.

Dans ma carrière, j’ai eu à utiliser plusieurs logiciels de « version control ». SVN, CVS avec Tortoise, etc…

À l’Université Laval, on utilisait un, ou l’autre de ces deux choix avec un GUI: Tortoise. Sous Windows, c’est vraiment bien. Icônes dans un menu déroulant, icône sur les fichiers modifiés et les dossiers en contenant: tout cela est bien pratique.

Lorsque j’avais ma boîte de web, sparko.ca, un des gars de mon équipe (pour ne pas nommer Mongo) m’a recommandé d’essayer Git qui gagnait alors en popularité. Pourquoi pas !

Je dois dire que si vous ne travaillez que dans un environnement Windows (serveurs et clients), vous aurez davantage de difficultés lors de l’installation. En effet, Git fonctionne sous SSH. Vous aurez donc besoin d’installer d’abord SSH sur votre serveur Git, puis des clients sur chaque machine.
Si vous êtes sous Mac ou Linux, ça va être plus simple.

Je n’entrerai pas dans les détails d’installation car il y a déjà beaucoup de documentation sur Git. Je me contenterai d’énoncer les avantages.

D’abord, j’utilise SmartGit pour MacOSX comme client qui est aussi dispo pour Windows et Linux. En tant que gestionnaire et maître des mises-en-prod (!), j’apprécie énormément l’interface de log qui me permet de voir en un coup d’oeil qui a fait quoi, quand, quel « merge » a été fait, sur quelle branche, et quand datent mes « Releases » et mes « patchs ».

SmartGit Log

J’apprécie également que ce logiciel ait brisé le paradigme du « shell » à-la-tortoise. Avec SmartGit, on a une belle interface avec un « treeview » pour parcourir l’arborescence des fichiers, avec plusieurs filtres. En un coup d’oeil, on peut voir et mettre dans le même « commit » tous les fichiers modifiés qui sont liés à une nouvelle fonctionnalité.
Avec SVN et Tortoise, on est souvent obligés de faire un gros « commit » sur un dossier avec plusieurs fonctionnalités ou corrections de bugs et souvent, on inclut des fichiers qu’on ne voulait pas nécessairement commiter.

L’avantage est gigantesque: un commit touche une et une seule fonctionnalité et il est donc facile de roll-backer seulement ce commit.

En ce qui a trait à Git, je lui trouve plusieurs avantages.

D’abord, pour les branches. Les développeurs peuvent avoir des branches locales, des branches publiques. Les branches locales sont utiles lorsqu’ils travaillent individuellement sur une nouvelle fonctionnalité compliquée qui implique plusieurs fichiers. Pendant leur travail, ils peuvent faire des « pull » et ainsi mettre à jour leur version de développement avec les modifications faites par les collègues. À mesure qu’ils atteignent des objectifs intermédiaires, ils peuvent faire des commit qui resteront locaux. Lorsque la fonctionnalité est terminé, ils peuvent faire un « merge » vers la branche commune de développement (nous on utilise Master), puis « push » et tout le monde aura accès à leur code.

Les branches publiques sont aussi très utiles lorsque plus d’un programmeur travaillent sur une même fonctionnalité et veulent partager leurs avancements. C’est aussi utile si on veut garde une sauvegarde distante du travail d’un programmeur qui aurait une branche locale.

L’avantage avec ces branches, c’est qu’un développeur peut avoir de multiples branches s’il est sur plusieurs projets en même temps. Et si on fait une mise en production et qu’on découvre un bug urgent, il n’a qu’à se mettre temporairement sur la branche Production, fixer le bug, et revenir sur une de ses branches de développement.

La fonction « git stash » est également utile pour mettre de côté temporairement des modifications à des fichiers sans faire un commit pendant qu’on fixe un bug ou autre chose.

Pour le « merging », on peut utiliser la fonction « cherry-pick » de SmartGit (ou y aller manuellement en ligne de commande avec Git). L’avantage, c’est si on veux fusionner une autre branche dans la branche courante, mais qu’on est seulement intéressé de fusionner un ou deux commit. Disons qu’on a fait une mise en production récemment. Et disons que depuis, on a ajouté sur la branche Développement 3-4 fonctionnalités/bugs. Et disons qu’on veuille seulement intégrer dans la branche Production le 2e bug corrigé. Éh bien on peut le faire !

J’aime aussi qu’avec Git, tous les commit restent en local sur l’ordinateur du développeur avant d’être « pushés ».

Finalement, avec Git, vous avez en local une et une seule version de développement. Si vous changez de branche, les fichiers de votre version locale se mettent à jour presque instantanément. Si vous faites un checkout avec SmartGit d’un certain commit, toute l’arborescence des fichiers de votre version locale se met à jour en même temps. (attention, checkout sur Git != checkout sur SVN. Checkout sur Git est pour mettre à jour l’ensemble des fichiers à un stade passé)

En résumé, donc:

  • Facilité d’installation sur toutes les plateformes (sauf pour le serveur sur Windows)
  • Avec SmartGit, il y a une vue pour voir les logs.
  • Avec SmartGit, j’aime beaucoup la vue de « treeview » et le résumé des fichiers modifiés et la facilité de faire d’un fonctionnalité un et un seul commit, et vice-versa
  • Branches locales et branches publiques
  • Stash, pour mettre de côté temporairement des modifications sans les commiter
  • Avec SmartGit, la fonction « cherry-pick » pour pouvoir fusionner certains commit seulement
  • Les commits sont en local seulement jusqu’au moment où on les « push »
  • Facile de revenir avec un checkout à un état passé de l’architecture.
  • Utilisé par Facebook, LinkedIn, Microsoft, Twitter, etc… !

J’oubliais, vous pouvez même gratuitement faire héberger votre code sur github !