Les syndicats ne donnent rien

Ce matin, il semble qu’une entente de principe ait été conclue entre les professeurs de l’UQAM et la direction.  Peut-être est-ce dû à la menace du gouvernement de faire une loi spéciale ?  C’est possible, non ?

J’ai remarqué pendant ces négociations que le syndicat demandait plus, toujours plus.  En fait, il y a quelques jours, la direction et le gouvernement avait fait une « plutôt bonne » offre, selon le syndicat, mais il pouvait donner plus, selon eux.

Mais qu’en est-il du syndicat?  Donnera-t’il plus? non !

C’est toujours comme ça.  Le gouvernement ou la partie patronale doit toujours donner plus, donner plus, donner plus et le syndicat en réclâme toujours davantage.  Moins de jours de travail, plus d’argent, de meilleures conditions…  Mais que donne-t’il, le syndicat? rien!  Les syndicats ne cèdent jamais rien en échange d’autres privilèges.  Ils se contentent de demander plus, c’est tout.

Mais dans l’expression « négociation de convention collective », n’y a-t’il pas le mot négociation?  Wikipedia définit la négociation en disant que c’est « un jeu de concessions mutuelles ».  Quelles concessions les syndicats font-ils?  Ils ne proposent pas de travailler une heure de plus par jour en échange d’une augmentation salariale, par exemple.

En fait, même quand une compagnie est en difficultés financières, ce n’est qu’au dernier moment que le syndicat est prêt à faire des concessions.  Et c’est souvent tellement tard que la compagnie doit fermer.

Enfin pour Omar Khadr

omar-khadrEnfin, Stephen Harper n’aura plus le choix de réclâmer le rapatriement d’Omar Khadr des USA.

En effet, la Cour fédérale du Canada estime qu’on devait rapatrier Khadr.

Il y a longtemps que le Parti Libéral du Canada exigeait son rapatriement, mais Harper faisait le sourd d’oreille.  Ce que je ne comprends pas c’est: Pourquoi?

Qu’ont les conservateurs à y gagner?  Toute la population espérait que le gouvernement du Canada demande aux États-Unis de rapatrier Omar Khadr.  Il n’aurait pourtant suffit que d’une petite action de Stephen Harper…

Pour un Bloc Québécois takeover

Il y a cela de beau dans la démocratie: on peut infiltrer une organisation pour en changer la mission.  C’est exactement cela que le Bloc Québécois a fait jusqu’à maintenant.  Depuis Lucien Bouchard, il a faussement prêté serment à la Reine pour infiltrer le Parlement canadien et tenter d’imposer leurs politiques séparatistes à tout le Canada.

Maintenant, François Parenteau nous incite dans son blog à faire un « takeover » du Bloc Québécois.  C’est une excellente idée.  Supposons que le Bloc Québécois ait 50 000 membres (chiffre totalement aléatoire), on peut trouver 50 001 membres hors-Québec et ainsi changer la mission du Bloc Québécois, organiser une fusion, ou faire du Bloc Québécois un Bloc pour l’Unité Nationale du Canada ;o).

Imaginez les possibilités: on n’a qu’à trouver 5 personnes hors-Québec prêtes à devenir membre du Bloc Québécois.  Ces 5 personnes forment légitimement une association de circonscription et peuvent présenter un candidat de leur choix à la prochaine élection fédérale.  Gilles Duceppe, lui, ne peut pas légalement intervenir et pourtant, cela contreviendrait à leurs idéaux !

Le rêve canadien

Michael IgnatieffD’abord, pour la n-ième fois, je recommence à blogguer.  J’ai maintenant amplement le temps !

Ensuite, c’est tout motivé que je reviens d’une fin de semaine de conseil général du Parti Libéral du Canada, en pleine reconstruction.  L’ambiance y était, les militants étaient électrisés et prêts à aller en campagne électorale et Denis Coderre était… Denis Coderre !

Michael Ignatieff, le chef du PLC, a tout fait à l’encontre des traditions: en effet, le chef ne se présente habituellement que pour le discours final, pour allumer les troupes.  Cette fois, il a plutôt choisi d’être part of de la fête.  Il a assisté à un 5 à 7 avec les jeunes, et il est venu ici et là dans le hall saluer les gens.  On voit à quel point c’est un homme de proximité, plutôt qu’une élite froide à la Pauline Marois.

De mon côté, j’ai eu la chance d’introduire à la politique fédérale trois recrues motivées.  J’espère qu’elles ont réalisé à quel point la politique fédérale est intéressante, que le Parti Libéral du Canada est inclusif, et que la grande famille libérale partage les mêmes idéaux qu’elles.

J’ai aussi eu la chance de faire un plaidoyer sur la fierté canadienne et le courage d’affirmer notre identité fédéraliste suite au discours d’André Pratte.  Je n’étais pas préparé, j’étais plus stressé qu’à l’habitude, mais les gens m’ont étonnamment applaudit à deux reprises, surtout grâce au fait que j’osais garder mon drapeau du Canada bien en vue sur ma maison.

J’ai également pu faire un peu de lobying pour mon prochain comté, et je crois m’être fixé.  Comme dit la chanson: « je reviens chez nous […]  » !!

La mode masculine à Montréal

J’en ai déjà parlé ici.  Clusier Habilleur est en train de devenir la référence en mode masculine à Montréal.  Mais voilà que le jeune propriétaire de la boutique lance son blogue.

C’est grâce à lui que j’étais si bien habillé pendant mes deux campagnes électorales.  Bien mieux que mon jeune adversaire péquiste Guillaume Tremblay, qui portait plusieurs fois les mêmes vêtements deux jours consécutifs et qui avait l’air de faire ses noeuds de cravate à hauteur différente chaque jour.  J’ai toujours cru qu’il fallait avoir l’air le plus professionnel possible pour représenter la collectivité: car être professionnel dans son job s’illustre souvent avec la démonstration dans la vrai vie.

Pour ceux qui, comme moi, voudraient être plus à la mode et recherchent un conseiller.  Ou bien pour ceux qui sont à la mode mais qui sont exaspérés des boutiques de vêtements haut-de-gamme pour homme dépassés (la liste pourrait être très longue).  Je vous incite à aller visiter Pierre-Benoit Duhamel chez Clusier.

Clusier a d’ailleurs maintenant deux succursalles à Montréal, une au 46 rue McGill et l’autre sur la rue Bernard, un peu à l’ouest de Parc.

Pay-per-click: Lead Caps ?

For the first time I will not talk about politics, I will talk about pay-per-click.  You might already know that I work in this field, in some way.  I will use this occasion to describe the expression lead caps in both official languages in Canada, so that Google knows what it is.  Unfortunately, we cannot find anything about it, anywhere.

We could state a synonym for this expression: maximum potential contacts.  What I understand is that lead caps is the maximum potential contacts we can provide in one day.  For example:

A real estate agent can do up to 100 visits per week.  His lead cap is limited to 100/5=20 visits of houses per day.  If his website provide him 25 visits per day, he will not be able to do them all.  Then, he doesn’t have to pay for publicity after reaching this lead cap.

Pay-per-click: Lead Caps ?

Pour une fois je ne parlerai pas de politique mais de pay-per-click.  Vous savez possiblement que je travaille dans ce domaine, en quelque sorte.  Je vais donc profiter de l’occasion pour en parler un peu, dans les deux langues officielles du Canada, pour que Google puisse savoir ce que c’est.  Malheureusement, on ne peut trouver aucune information à ce sujet, nul part.

On pourrait traduire ce terme par l’expression maximum de contacts potentiels.  Ce que j’en comprends, c’est que lead caps est le maximum de contacts potentiels qu’on peut fournir dans une journée.  Par exemple:

Un courtier immobilier peut faire 100 visites par semaine avec des clients potentiels.  Son lead cap est donc limité à 100/5=20 visites par jour.  Si son site web lui en fourni 25, il ne pourra pas les effectuer.  C’est donc inutile de payer pour de la publicité après avoir atteint le lead cap.

Pay-per-click: Lead Caps ?

Pour une fois je ne parlerai pas de politique mais de pay-per-click.  Vous savez possiblement que je travaille dans ce domaine, en quelque sorte.  Je vais donc profiter de l’occasion pour en parler un peu, dans les deux langues officielles du Canada, pour que Google puisse savoir ce que c’est.  Malheureusement, on ne peut trouver aucune information à ce sujet, nul part.

On pourrait traduire ce terme par l’expression maximum de contacts potentiels.  Ce que j’en comprends, c’est que lead caps est le maximum de contacts potentiels qu’on peut fournir dans une journée.  Par exemple:

Un courtier immobilier peut faire 100 visites par semaine avec des clients potentiels.  Son lead cap est donc limité à 100/5=20 visites par jour.  Si son site web lui en fourni 25, il ne pourra pas les effectuer.  C’est donc inutile de payer pour de la publicité après avoir atteint le lead cap.